デカルトの認識論における洗練の過程

Abstract

Dans l'épistémologie cartésienne, ce qui est le sujet vrai de la connaissance, c'est l'esprit réellement distinct du corps. Nous pouvons trouver cette pensée dans son œuvre de jeunesse. Mais elle n'est pas encore élaborée à fond, car il reste l'inconséquence dans son première théorie. Mais Descartes introduit la notion nouvelle, c'est-à-dire, realitas objectiva ideae dont il fortifie sa doctrine. L'intention de cet essai est à tenir ce changement pour le processus du raffinement dans son épistémologie, et à donner la vue de son ensemble. Dans Regulae, Descartes empoloie le mot idea corporea qui est une sorte d'image dépeinte dans le cerveau. Si l'on examine quelque chose de matériel, il faut en former une idée corporelle. Or, l'imagination sur laquelle cette image est imprimée est bien l'objet de la connaissance, mais par ailleurs le sujet comme auxiliateur qui compléte l'operation de l'entendement. Sur ce point, Il n'y aurait pas la consistance. Dans Meditationes, Descartes réussit balayer l'instabilité du sens et de l'imagination de son épistémologie, mais dans le mot d'idée il reste de l'équivoque. S'il est pris materialiter, l'idée est une mode de l'esprit ; s'il est pris objective, elle se raporte au corps. En employant cette ambiguïté de l'idée, Descartes essaie de se sauver du solipsisme. L'esprit ne sait se rapporter immédiatement au corps. Concernant cette impossibilité, il n'y a aucune différence entre Regulae et Meditationes. Mais, si l'on puisse trouver ici l'raffinement, c'est que idea corporea n'existe plus, realitas objectiva ideae apparaît dans son epistémologie. Cette dernière, dans un sens, peut exclure l'inconséquence dans l'épistémologie de Regulae, et rendre la distinction entre l'esprit et le corps complète.