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タイトル: | デカルトの感覚知覚批判―その三つの側面― |
その他のタイトル: | Trois arguments dans la critique de la sens-perception par Descartes |
著者: | 松田, 克進 ![]() |
著者名の別形: | Matsuda, Katsunori |
発行日: | 1-Sep-1992 |
出版者: | 京都大学哲学論叢刊行会 |
誌名: | 哲学論叢 |
巻: | 19 |
開始ページ: | 13 |
終了ページ: | 24 |
抄録: | La critique de la sens-perception par Descartes, ce n'est pas du tout monolithique. Il prépare trois différents arguments pour trois différents types de perception : (a) la perception des qualités sensibles (par ex. rouge, doux), (b) celle des qualités spatiales (par ex. carré, triangulaire) et (c) celle des conditions vitales (par ex. indisposé, commode). S'il s'agit de (a), le probleme est l'idée sémantique que les idées comme «rouge» «doux» etc. signifient quelque chose de semblable aux sentiments de couleur, goût etc. Si un jugement (par ex. «Ce corps est rouge.») est fondé sur cette sémantique, il doit etre faux. Pour éviter ce fausseté il faut adopter une autre sémantique, selon laquelle ces idées signifient des qualités spatiales. La critique de (b) concerne l'exactitude quantitative de la perception. Conformément aux limites physiologiques des organes sensoriels (par ex. les yeux), doit être limité l'exactitude quantitative de la perception des qualités spatiales (par ex. les distances). La critique de (c) regarde le concept «vrai» appliqué à la perception. Les idées dans cette sorte de perception (par ex. «indisposé») ne sont que des dénominations extérieures et ainsi ne signifient aucune chose qui soit dans l'objet. Alors, si la perception est vraie, cela ne veux pas dire qu'elle corresponde à la réalité. Si elle est vraie, elle est utile. Dans ce cas, la vérité est l'utilité. Donc, on ne peut employer cette perception comme moyen pour rechercher la vérité. |
URI: | http://hdl.handle.net/2433/24540 |
出現コレクション: | 第19号 |

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