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DCフィールド言語
dc.contributor.author山田, 弘明ja
dc.contributor.alternativeYamada, Hiroakien
dc.contributor.transcriptionヤマダ, ヒロアキja-Kana
dc.date.accessioned2022-05-23T09:27:46Z-
dc.date.available2022-05-23T09:27:46Z-
dc.date.issued1978-06-10-
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/2433/273520-
dc.description.abstractÀ partir du deuxième chapitre, nous avons examiné les rôles de la raison dans la méthode, la physique, la métaphysique, la morale et la foi. Car la raison doit avoir une relation étroite avec la pensée cartésienne. Dans le deuxième chapitre, nous avons remarqué le caractère intellectuel de la raison dans la méthodologie et la physique de Descartes. Par exemple, les quatre préceptes de la méthode, précisés dans le Discours de la Méthode, sont basés sur l'idee de l'évidence de la raison et sur celle de bien couduire la raison. Autrement dit, la raison domine la méthode cartésienne. La possibilité indéfinie de son expansion nous fait croire que tout est intelligible, en droit, avec cette méthode. Dans la physique, l'aspect mathématique de la raison est souligné. C'est cette raison qui permet à Descartes de rejeter la physique d'Aristote, de mathématiser la physique et ainsi de construire effectivement la physique mécanique. De plus, il tente de rationaliser toutes les sciences, suivant le modèle des mathématiques sous le nom du Mathesis Universalis. Donc, il est incontestable que la pensée cartésienne dans la méthode et dans la physique, avec la croyance intellectuelle à la raison, est orientée vers ce qu'on appelle le rationalisme. Mais, dans la métaphysique, qui est notre sujet dans le troisième chapitre, le fonctionnement de la raison elle-même est mis en cause pour trouver son fondement métaphysique. Par conséquent, nous y avons trouvé au moins trois problèmes qui sont inexplicables dans un cadre purement intellectuel, c'est-à-dire, le cercle, l'incompréhensibilité de Dieu et la sphère de la vie. Car ils contiennent des éléments psychologiques, pragmatiques et irrationnels. Donc, la pensée métaphysique, qui est en principe rationnelle, admet d'autres éléments qu'on ne peut pas réduire à la raison. Descartes a essayé de les déterminer par la raison, mais malgré cet effort, la dualité essentielle entre le rationnel et l'irrationnel reste toujours dans la métaphysique. (À Suivre)fr
dc.language.isojpn-
dc.publisher京都哲學會 (京都大學文學部内)ja
dc.publisher.alternativeTHE KYOTO PHILOSOPHICAL SOCIETY (The Kyoto Tetsugaku-Kai)en
dc.subject.ndc100-
dc.titleデカルトの合理主義について (二) : 理性の意義と役割ja
dc.title.alternativeSur le rationalisme de Descartes (II) : Étude sur les significations et les rôles de la raisonfr
dc.typedepartmental bulletin paper-
dc.type.niitypeDepartmental Bulletin Paper-
dc.identifier.ncidAN00150521-
dc.identifier.jtitle哲學研究ja
dc.identifier.volume46-
dc.identifier.issue5-
dc.identifier.spage419-
dc.identifier.epage448-
dc.textversionpublisher-
dc.sortkey04-
dc.address名古屋市立大学教養部助教授ja
dc.identifier.selfDOI10.14989/JPS_46_05_419-
dcterms.accessRightsopen access-
dc.identifier.pissn0386-9563-
dc.identifier.jtitle-alternativeTHE JOURNAL OF PHILOSOPHICAL STUDIES : THE TETSUGAKU KENKYUen
出現コレクション:第46卷第5册 (第535號)

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