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dc.contributor.author平松, 希伊子ja
dc.contributor.alternativeHiramatsu, Kiikoen
dc.contributor.transcriptionヒラマツ, キイコja-Kana
dc.date.accessioned2022-05-23T09:27:57Z-
dc.date.available2022-05-23T09:27:57Z-
dc.date.issued1982-11-20-
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/2433/273587-
dc.description.abstractDescartes, philosophe du «Cogito», fait aussi partie des physiciens qui ont fait la Révolution Scientifique du XVIIe siècle : c'est lui qui a formulé avant Newton la loi de l'inertie sur la ligne droite et découvert la loi de la réfraction indépendamment de Snell. Ces deux aspects de la personalité de Descartes, le savant et le métaphysicien, sont tout à fait liés. Cependant Descartes jeune a étudié les phénomènes physiques sans faire de rapport avec leur fondements métaphysiques. On pourrait faire remonter le lien entre la physique et la métaphysique dans le système philosophique de Descartes au plus tôt, à l'hiver 1629-1630. En effet c'est le moment où il a décidé d'expliquer «toute la Physique» au lieu de se pencher sur chaque phénomène particulier. Nous pouvons penser que la théorie de la création des vérités éternelles, dont il parle dans «les lettres à Mersenne» au printemps 1630, est pour ainsi dire une forme cristallisée de la réflexion sur le fondement de la physique. Elle clarifie les rapports entre Dieu, les vérités, l'homme (comme sujet de la connaissance), et la Nature (comme objet) ; Dieu a créé les vérités éternelles dans la Nature et en même temps en a donné la connaissance à l'homme en tant qu'empreinte du divin. Cette théorie signifie que l'homme peut atteindre les connaissances véritables du monde extérieur en reconnaissant les vérités qui sont indubitables à partir d'une réflexion intérieure. C'est pourquoi le système de la physique cartésienne aboutita la voie «à priori», que l'on trouve appliquée dans le livre «Le Monde». D'autre part si on compare la théorie de la création des vérités éternelles avec la métaphysique cartésienne officiellement formulée, on ne trouve pas de différences essentielles dans la mesure où on les considère comme le fondement de la nouvelle physique. On pourrait dire que la théorie de la création des vérités éternelles est en quelque sorte l'essence des «Méditations». En effet le livre des «Méditations» est un ensemble de démonstrations composé selon un ordre bien défini, tandis que la théorie elle-même, brûlant toutes les étapes, arrive directement au but.fr
dc.language.isojpn-
dc.publisher京都哲學會 (京都大學文學部内)ja
dc.publisher.alternativeTHE KYOTO PHILOSOPHICAL SOCIETY (The Kyoto Tetsugaku-Kai)en
dc.subject.ndc100-
dc.titleデカルトにおける永遠真理創造説についてja
dc.title.alternativeSur la théorie de la création des vérités éternelles chez Descartesfr
dc.typedepartmental bulletin paper-
dc.type.niitypeDepartmental Bulletin Paper-
dc.identifier.ncidAN00150521-
dc.identifier.jtitle哲學研究ja
dc.identifier.volume47-
dc.identifier.issue4-
dc.identifier.spage526-
dc.identifier.epage543-
dc.textversionpublisher-
dc.sortkey05-
dc.address京都大学文学部(哲学)研修員ja
dc.address.alternativeEtudiante de recherche à l'Université de Kyotoen
dc.identifier.selfDOI10.14989/JPS_47_04_526-
dcterms.accessRightsopen access-
dc.identifier.pissn0386-9563-
dc.identifier.jtitle-alternativeTHE JOURNAL OF PHILOSOPHICAL STUDIES : THE TETSUGAKU KENKYUen
出現コレクション:第47卷第4册 (第546號)

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